Philippiens 1.1-8 – Réjouissez-vous ! (1)

Déclaration d’amour

1 Paul et Timothée, esclaves de Jésus-Christ, à tous ceux qui, à Philippes, sont saints en Jésus-Christ, aux épiscopes et aux ministres : 2 Grâce et paix à vous de la part de Dieu, notre Père, et du Seigneur Jésus-Christ !

3 Je rends grâce à mon Dieu toutes les fois que je me souviens de vous ; 4 je ne cesse, dans toutes mes prières pour vous tous, de prier avec joie, 5 à cause de la part que vous prenez à la bonne nouvelle, depuis le premier jour jusqu’à maintenant. 6 Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous une oeuvre bonne en poursuivra l’achèvement jusqu’au jour de Jésus-Christ.

7 Il est juste que j’aie pour vous tous de telles pensées, parce que je vous porte dans mon coeur et que, dans ma condition de prisonnier comme dans la défense et la confirmation de la bonne nouvelle, vous avez tous part à la même grâce que moi. 8 Dieu m’est témoin, en effet, que j’ai une vive affection pour vous tous, la tendresse même de Jésus-Christ.

Joie et tendresse

Est-ce parce qu’il est en prison et qu’il se laisse aller à la nostalgie que Paul ressent le besoin de montrer autant d’amour pour les habitants de Philippes ? En tout cas, le souvenir de leur conversion et de leur persévérance semble être un réconfort. Malgré toutes les choses exceptionnelles qu’il a vues, son travail missionnaire fructueux, l’apôtre est toujours plein de joie en pensant à des vies transformées par l’Évangile !

Processus (v.6)

Tout comme Jésus veille sur eux, Paul continue de prier pour les philippiens. Comme il est conscient d’être un instrument du Seigneur, il va continuer de les exhorter via cette lettre afin qu’ils continuent de progresser.

 

  • La conversion, c’est quelque chose de merveilleux ! Je me souviendrai toute ma vie de mon baptême : toutes ces personnes qui me connaissaient assez peu mais qui avaient les larmes aux yeux parce que « je faisais maintenant partie de la famille » !

 

  • Le v.6 montre que la conversion n’est qu’un début et donc Jésus s’attend à ce que nous nous laissions transformer par le Saint-Esprit pendant le reste de notre vie. La question naturelle est donc : avons-nous l’impression de progresser ?

 

 

 

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