Étude de la série “Les pharisiens, des gens pas bien!”, camp d’hiver 2003. Auteur : Nora Shafir, Secrétaire Itinérante dans le Sud-Est
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- Que dénote la manière du pharisien de traiter « tous » les hommes ? (orgueil, fierté, imbu de sa personne), quelle est sa vision du monde ?
- Observez sa prière, à qui s’adresse-t-il en réalité ? (relever les pronoms personnels…)
- Qu’est-ce qui résume la religion de ce pharisien ?
- Qu’est-ce qu’un publicain ?
- Comment le 2ème homme s’adresse-t-il à Dieu ?
- Comment se considère-t-il lui-même ?
- Que demande-t-il dans sa prière ?
- Vous est-il déjà arrivé de faire de telles remarques ? Ne sont-elles pas similaires à celles que font ce pharisien ?
- Pourquoi avons-nous besoin de nous comparer aux autres sans arrêt ? Aucun d’entre nous ne peut s’approcher de Dieu sur la base de son mérite ; et bonne morale, oeuvres…
- Mais nous devons reconnaître que nous sommes pêcheurs et que nous avons besoin du pardon de Dieu
- Notre façon de prier, d’aborder Dieu… Qu’est-ce que ce passage nous encourage à vivre ?
- Moi non plus je n’aurais pas apprécié, mais au moins je n’aurais jamais dit ce qu’elle a dit
- Je ne me serais jamais mise si en colère à cause d’une histoire si insignifiante…
- Je sais bien que je ne suis pas parfait, mais je n’aurais jamais…
- Tu te rends compte de ce que M… a fait? Comment peut-on être si cruel?
OBSERVATION-INTERPRÉTATION
MISE EN PRATIQUE
Même si on a du mal à s’identifier au pharisien et qu’on n’a jamais prié aussi « audacieusement », il nous arrive d’avoir une attitude semblable dans d’autres contextes…
Dieu s’attache-t-il uniquement à attitude pendant notre prière, qui commence par : « notre Père qui êtes au cieux » et qui finit par « au nom de Jésus, Amen » ? ou est-il attentif/est concerné/s’attache par notre attitude en tous temps ?
Notre façon de mesurer notre valeur, en fonction des autres, le jugement, la critique, la dévalorisation/rabaissement des autres pour se remonter. Attention à nos manières de nous exalter en traitant/considérant les autres avec mépris / arrêtons-nous de nous comparer aux autres.